Multi culturelles, les « Belles » se promènent de château en jardins, parfois nonchalantes, souvent meurtries, toujours captives d’un décor urbain convenu où les fils rouges de la censure, de la novlangue, des tabous et de la violence la plus radicale tissent une toile de plus en plus serrée autour de l’humanité. Elles se rapprochent de cette nature trop négligée, s’attachent aux arbres à la recherche d’harmonie, et dans cet univers muselé par un trop plein de communication et d’égoïsmes divergents, elles vont devenir Re-Belles.